Chère Jeanne
Dernièrement j’ai reçu votre lettre du 11 novembre c’est avec beaucoup de plaisir que j’ai fait la lecture, le temps me tarde d’en recevoir une autre pour voir si vous avez fait l’achat de cette jument, il me semble que ça serai le moment car plus tard il ne fera peut être pas bien faire. J’en profite aussi pour vous envoyez mes meilleurs vœux et souhait pour l’année 1918 ainsi qu’à toute la famille. De tout cœur je vous embrasse.
Pierre Fournier